(GDM) Fahrenheit 451

Ecrit en 1953, le roman de Ray Bradbury nous raconte l’histoire de Montag, qui vit dans une société dystopique.

Montag est pompier, mais les soldats du feu n’éteignent plus les incendies ; ils les allument. Juges, censeurs et bourreaux de la pensée, ils brûlent les livres.

Montag finit par se révolter, et rencontre d’autres résistants qui, pour ne pas être pris, apprennent les livres par coeur avant de les faire disparaître, devenant de fait des Hommes-livres.

Cette adaptation entreprend de dire le roman, simplement, rageusement, joyeusement. Dire avec les mots d’une fable dystopique, dans un monde saturé d’images, d’urgences et d’injonctions, la puissance de l’imagination.

Raconter, chanter, jouer l’histoire universelle, initiatique et édifiante d’un être révolté contre l’oppression. Dire la joie surtout face à la résilience possible d’une humanité éclairée par les livres.

« Une mise en scène du roman de Ray Bradbury qui pète le feu. »

Mediapart

theatreamer.fr

Mise en scène, adaptation et scénographie : Mathieu Coblentz, d’après la traduction de Jacques Chambon et Henri Robillot
Création lumière et collaboration artistique : Vincent Lefèvre
Collaboration à la scénographie : Clémence Bezat

Régie sonore : Simon Denis
Création des costumes : Marie-Lou Mayeur
Conception du décor : Christophe Coupeaux et Kristelle Paré
Interprétation : Florent Chapellière, Olivia Dalric, Maud Gentien, Julien Large, Laure Pagès, Florian Westerhoff et Jo Zeugma
Crédits photos : Rodolphe Haustraete

Production : Théâtre Amer

Production déléguée de 2020 à 2022 : Espace Marcel Carné, Saint-Michel-sur-Orge

Coproduction : Théâtre Romain Rolland, scène conventionnée art et création, Villejuif ; Les Bords de Scènes, Grand-Orly Seine Bièvre ; L’Archipel, pôle d’action culturelle de la ville de Fouesnant.

Aides et soutiens : DRAC Bretagne, Région Ile-deFrance (aide à la diffusion), Département du Val de Marne (soutien à la création), Spectacle vivant en Bretagne.

Remerciements : Théâtre Gérard Philipe – CDN de Saint-Denis, Théâtre de l’Aquarium, François Sallé